Encadrer au mieux le marché des parcelles à usage d’habitation, c’est ce à quoi s’attèle le ministère en charge de l’Habitat. Le département a commandité une étude visant à fixer un prix plafond à ces parcelles.
Le rapport de ladite étude a fait l’objet d’un atelier dans la matinée de ce mardi 19 mars 2024 à Ouagadougou. Pour le secrétaire général du ministère en charge de l’habitat, Maxime TIENDREBEOGO qui a présidé la cérémonie d’ouverture de cet atelier, il est nécessaire pour l’Etat, de prendre les mesures “adéquates, contraignantes, robustes” qui s’imposent pour le plafonnement des prix des parcelles à usage d’habitation.
C’est pourquoi, il a appelé à un examen sans complaisance afin de disposer d’un document consolidé assorti de fortes recommandations pour la suite du processus.
DCRP/MUAFH
Minute.bf
C’est une bonne nouvelle mais il faut encore bien mûrir l idée parce que si on s amuse c est les riches qui vont encore tout payer.
Une parcelle par personne majeure.18 ans et plus. En deçà, ils sont censés être toujours à la charge de leur parents.
Interdiction formelle de posséder plus de 3 parcelles sur l’ensemble du territoire national.
On ne doit pas spéculer sur un bien qui en réalité n’appartient à personne. On est tous nés trouver ce bien.
Bbonne initiative.
Les burkinabe exagere trop sur le cout des Parcells surtout les demarcheurs.
Bonjour nous avons des soucis pour remplir la plate-forme du ministère de l’urbanisme et les assistants ne répondent pas.
C’est une bonne nouvelle .Que des mesures idoines soient prises pour l’encadrer et mettre en application sans tarder.
Huumm !!si jusque là on n’a pas pû prendre des mesures idoines pour faire plafonner le prix des loyers je me demande bien s’il sera facile de faire plafonner le prix des parcelles à usage d’habitation… c’est facile de décider sur papier mais le faire appliquer sur le terrain sera une autre réalité .
Très belle initiative, mais il faut bien mûrir la réflexion et plafonné aussi le nombre de parcelles par personne, le prix doit être vraiment étudié en faveur du citoyen lambda