Le 14 février est généralement synonyme de roses rouges et de ballons en forme de cœur. Mais pour certains États, la fête des amoureux renvoie l’image d’un Occident décadent. Parmi eux, la Russie est en première ligne. Plusieurs institutions russes, dont l’Église orthodoxe, réclament son interdiction.
Si la Saint-Valentin est l’occasion de célébrer l’amour sur une grande partie du globe, plusieurs gouvernements, comme celui de la Russie, la juge « trop occidentale ».
Le 14 février est généralement synonyme de roses rouges et de ballons en forme de cœur. Mais pour certains États, la fête des amoureux renvoie l’image d’un Occident décadent. Parmi eux, la Russie est en première ligne. Plusieurs institutions russes, dont l’Église orthodoxe, réclament son interdiction.
Dans le contexte du tournant conservateur opéré depuis plusieurs années en Russie, le patriarche Kirill a déclaré que la Saint-Valentin était de la « propagande » et de « l’idéologie LGBT ». « La célébration de la soi-disant Saint-Valentin, importée d’Occident, reste une propagande pour des relations qui n’ont rien à voir avec l’amour véritable », a affirmé le chef religieux proche du Kremlin, rapporte France Info. Cette opinion est partagée par le pouvoir. Un député de la Douma a demandé que l’on ne puisse pas évoquer la fête dans les écoles et les administrations.
Minute.bf avec Le Figaro