Le 14 janvier 2025, les officiers de liaison de l’Alliance des États du Sahel (AES), en poste à Ouagadougou dans le cadre de la coordination des opérations de sécurisation de l’espace AES, ont effectué une visite à l’École Nationale des Sous-Officiers d’Active (ENSOA).
Cette visite a été l’occasion pour eux de découvrir le programme de formation axé sur l’opérationnel, conçu pour répondre aux exigences du contexte sécuritaire actuel. Ils ont également visité les infrastructures mises à la disposition des instructeurs et stagiaires, qui témoignent de l’engagement de l’ENSOA dans la formation d’excellence. À l’issue de leur visite, les officiers de liaison ont salué le professionnalisme et le dévouement des cadres de l’École, tout en les exhortant à poursuivre leurs efforts dans la formation de sous-officiers compétents et résilients.
Un centre de formation au rayonnement régional
Créée le 6 avril 2005 sur les bases de l’École des Cadres des Forces Armées (ECFA), l’ENSOA est aujourd’hui un pilier de la formation militaire dans la sous-région. Outre les stagiaires burkinabè, l’École accueille également des apprenants venus de plusieurs pays partenaires, notamment le Mali, le Niger, le Sénégal, le Tchad, le Togo, et la Centrafrique.
Cette visite illustre la reconnaissance du rôle stratégique de l’ENSOA dans le renforcement des capacités des Forces Armées de la région, contribuant ainsi à la sécurité et à la stabilité de l’espace AES.
Source : Armée de terre du Burkina Faso
Minute.bf
Pourquoi une telle visite dans un pays traité de déstabiliser les mêmes !!!
C’est chez eux au Burkina pas En Côte d’Ivoire
Je pense que les raisonnements politique n’ont rien avoir avec la formation de la grande muette qui est l’armée. C’est vrai qu’on a un régime militaire qui fait ses pas dans la politique mais reste toujours des militaires avec leurs principes. C’est également à l’honneur de la côte d’ivoire qui investit beaucoup dans la formation. Ce geste traduit qu’il y a des incompréhensions mais pas de guerre pas de conflit . c’est un peu comme au sport. C’est l’occasion de féliciter les cadres de cet établissement militaire qui demeurent professionnels et exemplaire.
Je pense qu’il s’agit là de l’ENSOA Burkina Faso et non l’ENSOA Côte d’Ivoire.