Au cours de l’émission « Monde politique » de la télévision 3TV, Simon Compaoré, ancien ministre burkinabè de la sécurité intérieure avait laissé entendre: « Ceux qui nous frappent aujourd’hui, il y en a dont on connaît les noms, on sait que c’est des gens qui habitaient dans notre pays, dans des hôtels de la place, qui ont des connexions avec certains responsables. Il y a certains qui sont là, d’autres sont hors du Burkina Faso. »
Une affirmation qui a poussé l’opposition, réunie ce mardi 19 novembre 2019 à sa traditionnelle conférence de presse hebdomadaire, à souhaiter que « Simon Compaoré soit entendu pour détention de preuves en situation de guerre ».
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